dissabte, 24 de febrer del 2024

Mémorial camp Argelès sur Mer · 𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐌𝐞́𝐥𝐢𝐧𝐞́𝐞 𝐞𝐭 𝐌𝐢𝐬𝐬𝐚𝐤 𝐌𝐚𝐧𝐨𝐮𝐜𝐡𝐢𝐚𝐧, 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐞́𝐭𝐫𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐮 𝐏𝐚𝐧𝐭𝐡𝐞́𝐨𝐧.

 

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À travers la figure des Manouchian, ce sont aussi tous les étrangers qui ont lutté pour la Libération de la France qu'il s'agit d'honorer.
Parmi les vingt-deux du groupe Manouchian, fusillés au Mont Valérien, ils sont cinq à être passés par le camp d'Argelès-sur-Mer : Celestino Alfonso, Joseph Boczov, Szlama Grzywacz, Jonas Geduldig (dit Michel Martiniuk) et Stanislas Kubacki.
Et puis tous les autres résistants étrangers qui nous ont permis de vivre libres.
A eux notre gratitude.
𝐂𝐞𝐥𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐨 𝐀𝐥𝐟𝐨𝐧𝐬𝐨 (1916-1944). Réfugié en France, il rejoint l’Espagne en 1936 et s’engage dans l’armée républicaine où il sert comme mitrailleur puis comme sergent, avant de devenir commissaire politique et d’intégrer la 2ème Brigade Internationale sous le grade de capitaine. Celestino Alfonso est interné en février 1939 au camp de Saint-Cyprien puis d’Argelès-sur-Mer. De ce dernier, il rejoint début décembre 1939 une Compagnie de Travailleurs Etrangers. Installé à Paris après juin 1940, Celestino Alfonso est arrêté le 17 janvier 1941. Interné aux Tourelles, il est envoyé en Allemagne pour travailler d'où il revient en juillet 1941. A l’été 1943, Alfonso intègre le groupe de Missak Manouchian et participe à plusieurs actions dont l’exécution du général SS Julius Ritter. Sur l’Affiche Rouge, sa photographie est accompagnée de la légende « Alfonso – Espagnol rouge – 7 attentats ». Fusillé au Mont-Valérien le 21 février 1944 à 15 h 40.
𝐉𝐨𝐬𝐞𝐩𝐡 𝐁𝐨𝐜𝐳𝐨𝐯 (1905-1944). Ingénieur chimiste hongrois, Joseph Boczov ou József Boczor, s’engage dans les Brigades internationales en 1938. Il est interné en février 1939 à Argelès-sur-Mer avant d’être transféré à Gurs au mois d’avril. Il parvient à s’évader au printemps 1941 lors d’un transfert en Allemagne. Joseph Boczov rejoint Paris et intègre les FTP-MOI. En 1942, Joseph Boczov devient chef du 4ème détachement spécialisé dans les déraillements de trains allemands. Sur l’Affiche Rouge, sa photographie est accompagnée de la légende « Boczov – Juif hongrois – chef dérailleur – 20 attentats». Fusillé au Mont-Valérien le 21 février 1944 à 15 h 40.
𝐉𝐨𝐧𝐚𝐬 𝐆𝐞𝐝𝐮𝐥𝐝𝐢𝐠 (1918-1944). Juif polonais, Jonas Gedulgig s’engage en 1937 dans les Brigades Internationales où il est versé dans le groupe « Anna Pauker » du bataillon Dimitrov. Grièvement blessé, il est interné en février 1939 au camp d’Argelès-sur-Mer puis à Gurs et à nouveau à Argelès-sur-Mer d’où il parvient à s’évader. Il rejoint Paris pour travailler sous le pseudonyme de Michel Martiniuk . En avril 1942, Jonas Geduldig intègre le 2eme détachement juif des FTP-MOI, puis en juin 1943 le 4ème détachement du groupe des dérailleurs, sous les ordres de Joseph Boczov. Présenté sur l’Affiche Rouge sous son pseudonyme, Michel Martiniuk. Fusillé au Mont- Valérien le 21 février 1944 à 15 h 47.
𝐒𝐳𝐥𝐚𝐦𝐚 𝐆𝐫𝐳𝐲𝐰𝐚𝐜𝐳 (1909-1944). Juif et militant communiste polonais, Szlama Grzywacz quitte Paris en 1936 pour rejoindre les Brigades Internationales. Il est interné en février 1939 au camp d’Argelès-sur-Mer puis à Gurs. Il parvient à s’évader en 1940. Comme Jonas Gedulgig, Szlama Grzywacz intègre en 1942 le 2e détachement FTP-MOI puis le 4ème détachement du groupe des dérailleurs. Sur l’Affiche Rouge, sa photographie est accompagnée de la légende « Grzywacz – Juif polonais – 2 attentats ». Fusillé au Mont- Valérien le 21 février 1944 à 15 h 56.
𝐒𝐭𝐚𝐧𝐢𝐬𝐥𝐚𝐬 𝐊𝐮𝐛𝐚𝐜𝐤𝐢 (1908-1944) Polonais arrivé en France en 1925, Stanislas Kubacki fut un militant communiste frappé d’un arrêté d’expulsion en 1936. Engagé dans les Brigades internationales, il est interné, à son retour en France, au camp d’Argelès-sur-Mer puis transféré sur le camp spécial de Collioure en avril 1939. Il quitte le camp disciplinaire pour celui du Vernet à la fin de l’année. Déporté en Allemagne, il s’échappe du convoi et rejoint les rangs des FTP-MOI. Il est arrêté le 7 décembre 1942 avec des notes en polonais sur des opérations de sabotage. Stanislas Kubacki fut remis à la Gestapo et torturé pendant plusieurs jours avant d’être incarcéré à Fresnes. Il sera jugé avec les hommes du groupe Manouchian. Fusillé au Mont-Valérien le 21 février 1944 à 15 h 56.
Citons aussi 𝐉𝐨𝐬𝐞𝐩𝐡 𝐄𝐩𝐬𝐭𝐞𝐢𝐧 (1911 - 1944). Militant communiste polonais, Joseph Epstein émigre en France en 1931. Il s’engage dans les Brigades internationales en 1936. Grièvement blessé, il est rapatrié en France puis retourne en Espagne en janvier 1938. En février 1939, il est interné au camp d’Argelès-sur-Mer puis de Gurs. Engagé dans la Légion Etrangère, il est fait prisonnier par les Allemands en 1940, mais parvient à s’évader d’un stalag près de Leipzig. De retour à Paris, Joseph Epstein se voit confier des responsabilités importantes par le Parti Communiste. En 1943, il prend la tête des FTP de la région parisienne sous le pseudonyme du colonel Gilles. Arrêté alors qu’il attendait Missak Manouchian à la gare d'Évry Petit-Bourg le 16 novembre 1943, Joseph Epstein est torturé mais ne livre aucun nom. Il est fusillé le 11 avril 1944 au Mont Valérien sous son nom de combattant lors de la guerre d’Espagne (Joseph Andrej).

Exilio español en el norte de África

 https://www.rtve.es/play/audios/reportajes-5-continentes/exilio-espanol-norte-africa/6642752/?fbclid=IwAR3JQqSiwiDpWhYm0Ep3QjwU35WZ4b9OGqWfaFwKICdccY6zg0KVwtjx7Q4


05/07/202207:14

Se estima que en los primeros meses de 1939 zarparon hacia el norte de África, casi siempre rumbo a Argelia, unas doce mil personas afines a la República. El destino, para la mayoría, fueron los campos de internamiento y de concentración y, desde julio de 1940, reclutados forzosamente y enviados al sur, para trabajar en condiciones entremas, en minas y en la construcción del Ferrocarril Transahariano, donde se llegó a cotas ingentes de crueldad y de sufrimiento

Es un reportaje de Valle Alonso

La historia de María Ferrer, sombrerera, madre y miliciana en la Guerra Civil: “Hay cosas que se olvidan para sobrevivir”

 https://www.eldiario.es/catalunya/historia-maria-ferrer-sombrerera-madre-miliciana-guerra-civil-hay-cosas-olvidan-sobrevivir_1_10908221.html

Luisa, junto a sus tres hijas, a las puertas de la Maternidad de Elna

Marta Aresté Mòdol

Barcelona —

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Luisa Ferrer, una anciana de casi 90 años, señaló la televisión donde se estaba emitiendo un documental sobre la Maternidad de Elna, la institución francesa que ayudó a parir a centenares de madres refugiadas de la Guerra Civil y exclamó: “¡Yo estuve allí!”. Era la primera vez que algún miembro de la familia Ferrer Casulleras rompía el silencio sobre su pasado. Tuvieron que pasar casi 80 años.

“Rápidamente, se giró, cogió el álbum de fotos familiares y me enseñó una fotografía de su madre y sus hermanas delante de la puerta de la cocina de la institución francesa”, cuenta Marc Solanes, el nieto de Luisa, sobre la conversación que tuvo con su abuela una fría tarde de invierno de 2017 y que le permitió conocer la historia de su familia enterrada por el trauma de la Guerra Civil.

En ese momento, Solanes estaba inmerso en el trabajo final del máster de Periodismo Literario y, tras la confesión de su abuela, no dudó en empezar a reconstruir un puzle familiar escondido durante ocho décadas. “¿Sería verdad lo que cuenta mi abuela? ¿Cómo podía ser que hubiesen vivido en Elna si sólo aceptaban a mujeres embarazadas? ¿No eran demasiado mayores para haber nacido allí? Todo eran dudas”, expresa. 

Luisa era la tercera de cuatro hermanas, hijas del matrimonio entre María Ferrer Ferrer y Pere Casulleras Sitjas. Su historia ha sido plasmada en el libro Las niñas de Elna (Editorial Pol·len, 2023). Con un relato que alterna escenas de los años 30 y de la actualidad, trenzadas por el sabor agridulce producido por la euforia de los pequeños avances y el dolor del recuerdo, el autor hurga en sus raíces para reconstruir la historia perdida de su familia, y, en especial, la de su bisabuela, María Ferrer Ferrer. 

“Satisfactorio, pero también muy doloroso”. Así es como define Marc Solanes, escritor y periodista, un proceso de investigación y de edición que duró más de cuatro años. “Cada día que pasaba era una cuenta atrás porque cuánto más tiempo pasaba, mayor se hacía la gente y menos quería hablar”, explica el autor. 

Romper el silencio

Madre de cuatro niñas, sombrerera de profesión y militante comunista, durante la Guerra Civil María Ferrer dejó a sus hijas en casa y se fue a luchar contra el fascismo en el frente de Aragón. En la retaguardia, las mujeres se dedicaban a tareas de cuidado de enfermos, niños, ancianos, intendencia y la educación en las escuelas. “Estaba convencida de que volvería a casa. Quizás esa fuera la única manera de convencerse de que hacía lo correcto”, relata el autor en el libro. 

María Ferrer Ferrer es la verdadera protagonista de esta historia. “Era muy zalamera, María”, coinciden la mayoría de sus familiares. Siempre estaba para arriba y para abajo. Cuando se instalaron en Lleida, empezó a trabajar en un taller improvisado en casa donde confeccionaba sombreros. “Por entonces apenas tenía veintiún años, pero irradiaba un empoderamiento impropio de una mujer de principios del siglo pasado”, relata el autor.

“María siempre llegaba tarde a casa”, explica su cuñada Neus, quien se encargaba de las niñas cuando ella no estaba. Siempre le había gustado la política, pero durante esos años se involucró aún más y participó en reuniones organizadas por grupos de izquierdas en los sótanos de algunos bares de la ciudad. Así fue como empezaron sus viajes hasta la primera línea de combate.

“Luchaba, sobre todo, por sus hijas”, confiesa Solanes. “Estaba convencida de que volvería a casa. Quizás esa fuera la única manera de convencerse de que hacía lo correcto”, añade. Tras abandonar la Maternidad en diciembre de 1940, María acabaría muriendo en el Hospital Provincial de Zaragoza de un shock cardiorrespiratorio durante una intervención médica.

Ni siquiera sus hijas recuerdan qué cara tenía. Teresa, la hija mayor, se negaba a hablar de su pasado y Núria, la más pequeña, siempre se refería a su madre como “la mujer que nació debajo de una col” por el completo desconocimiento sobre sus orígenes y los nulos recuerdos de su infancia.

Cuando María se marchó, Teresa se hizo cargo de sus hermanas. “Fuimos dando tumbos entre familiares de mi padre por toda Catalunya”, explica la pequeña. A finales de la guerra y con el territorio a manos de los franquistas, huyeron y atravesaron la frontera para entrar en el campo de Argelès. “De todo aquello no puedo acordarme mucho. O quizás es que no quiero”, confiesa Teresa a lo largo del relato. Pocos días después, las recogió un autobús y las llevó a Elna. “Era una casa preciosa, con un terreno inmenso. En esa casa todo iba bien. Fue muy bonito”, añade. 

“Siempre habíamos vivido en el decoro de hablar poco de mis abuelos o bisabuelos”, asegura el autor. Tampoco sus padres tenían apenas constancia de todos estos hechos. Los únicos indicios a los que podía aferrarse eran una foto familiar delante de la puerta de la cocina de la Maternidad y el recuerdo nublado de tres mujeres de entre 80 y 90 años. 

El libro es, según el autor, la reivindicación de la verdadera memoria histórica. Es una historia de supervivencia, pero, sobre todo, la recuperación de la figura de una mujer avanzada a su tiempo. “Las hijas de María siempre habían avalado la historia de una madre que antepuso sus ideales políticos al cuidado de la familia”, confiesa el periodista. “Necesitaba hacer justicia y decir alto y claro que María no tuvo ninguna culpa de actuar cómo lo hizo”, añade con convicción. 

Cinco años después, Marc Solanes ha conseguido encontrar sus raíces y colocar la última pieza de un rompecabezas familiar que parecía que nunca iba a encajar. Ahora, emocionado, confiesa: “Me he dado cuenta que a veces no es que la gente no quiera contarte algo doloroso de su pasado, simplemente hay cosas que se olvidan para poder sobrevivir”. 

divendres, 23 de febrer del 2024

Presenten a Alacant la primera querella pel robatori de nadons durant el franquisme

 https://www.vilaweb.cat/noticies/alacant-querella-robatori-nadons-franquisme/

  • Una dona demana d'investigar la desaparició de la seva germana bessona el març del 1962 a l'Hospital General d'Alacant



Una dona ha presentat als jutjats d’Alacant la primera querella contra l’estat espanyol pel robatori de nadons durant el franquisme. Demana d’investigar la desaparició de la seva germana bessona el març del 1962 a l’Hospital General d’Alacant.

La querella s’ha interposat per delictes de detenció il·legal, segrest amb desaparició, falsedat, crim de desaparició forçada, en un context de crims contra la humanitat. Ho ha explicat la Coordinadora Estatal de Suport a la Querella Argentina (Ceaqua), entitat que la impulsa. A més, expliquen que els pares no van veure mai el cos de la seva altra filla, suposadament morta.

El 2012 i el 2013, en l’anterior investigació de la fiscalia d’Alacant, es van fer unes quantes exhumacions en què no es van trobar restes que coincidissin genèticament amb la família. Malgrat això, el cas va ser arxivat.

“La ideologia nacional-catòlica de regeneració de l’esperit nacional justificava aquests fets per a reubicar els nadons en famílies de bé. Desenes de milers de dones, sense drets ni llibertats, van veure desaparèixer les seves criatures poc després d’haver nascut”, ha insistit la coordinadora.

També han recordat que el Consell de Drets Humans de Nacions Unides ha reiterat moltes vegades a l’estat espanyol la necessitat d’investigar de manera exhaustiva aquests crims. De fet, el Parlament Europeu va emetre un informe el novembre del 2017 amb trenta-una recomanacions per fer aquestes investigacions.

Ceaqua ha interpel·lat els jutges espanyols perquè investiguin els crims del franquisme, posin fi a la política d’impunitat que han mantingut fins avui i apliquin el dret penal internacional.

Hallan los restos de 25 personas represaliadas del franquismo en Cabra

 https://www.eldiadecordoba.es/provincia/Hallan-personas-represaliadas-franquismo-Cabra_0_1878114313.html


Presentación de los datos de las exhumaciones en Cabra.

Presentación de los datos de las exhumaciones en Cabra. EL DÍA

El Museo Arqueológico de Cabra ha acogido este jueves la exposición de resultados de las tres campañas de excavaciones realizadas desde el pasado año 2021 en el cementerio de San José con el objetivo de detectar fosas comunes de personas represaliadas durante la Guerra Civil y la posguerra en Cabra. Un acto presidido por el alcalde egabrense, Fernando Priego (PP), y en el que además de miembros de la Corporación municipal han estado presentes familiares de personas asesinadas en este contexto, que han podido conocer de cerca el resultado de los trabajos realizados por la Asociación para la Recuperación de la Memoria Histórica de Aguilar de la Frontera (Aremehisa), entidad encargada de las excavaciones.

La arqueóloga Virginia Barea ha realizado una amplia y detallada exposición de estos trabajos llevados a cabo a lo largo de las tres campañas desarrolladas en la zona anexa al camposanto y conocida como Cementerio Civil, en la que se han podido localizar un total de siete fosas comunes -de las que el equipo ha podido excavar seis- en las que se encontraban los restos óseos de 25 personas asesinadas y que, según los estudios llevados a cabo, serían de edades comprendidas desde los 16 o 19 años hasta una horquilla de entre 40 y 56.

De todos los cadáveres se han extraído muestras para poder realizar análisis genéticos con el objetivo de cotejarlos con los de familiares de personas represaliadas durante este periodo a fin de poder identificarlos. Unos trabajos, financiados por el Ayuntamiento de Cabra, que se han realizado en la empresa madrileña LabGenetics y que finalmente han dado, en todos los casos, resultado negativo en el cruce realizado entre el ADN conseguido de los restos de 16 cadáveres y las muestras obtenidas de ocho posibles familiares.

“El proyecto sigue abierto y, próximamente, se añadirán muestras de otros siete individuos encontrados en una excavación realizada en Monturque que, por lo que suponemos, podrían corresponder a personas procedentes de Cabra”, ha indicado Barea, destacando que “también tomaremos nuevas muestras a los restos que finalmente no pudieron arrojar material genético de calidad”.

Por su parte, el alcalde ha agradecido la labor realizada por el equipo técnico encargado de estos trabajos “que nunca se habían hecho y que, junto a la Comisión de Memoria Histórica, entendimos desde el Ayuntamiento que eran más que necesarios”, ya que “no estamos hablando de abrir debates históricos sino de un acto de mera justicia y humanidad con las familias y con la memoria de estas personas”.

En este sentido, el primer edil ha recordado que desde el primer momento “hemos tenido el apoyo de la Federación Española de Municipios y Provincias (FEMP) que, mediante respectivas subvenciones solicitadas por el Consistorio, ha aportado 47.000 euros para poder financiar las campañas”, adelantando que “para este año 2024 ya tenemos otra ayuda aprobada por valor de 20.000 euros que nos permitirá seguir avanzando en lo que queda por estudiar”.

Por último, Priego ha subrayado “el compromiso firme del Ayuntamiento por terminar estos trabajos”. Un “esfuerzo” que, según ha deseado, “esperamos que también venga acompañado de una respuesta importante por parte de todos aquellos que tienen la necesidad de encontrar a sus familiares”, por lo que ha hecho un llamamiento para que todas aquellas personas que conozcan o sospechen que podrían ser familiares de personas represaliadas “se acerquen al Consistorio para recibir información sobre cómo participar, ya que ahora mismo contamos con un número muy bajo de muestras de familiares y el objetivo sería conseguir un banco genético importante” desde el que “poder tener más posibilidades de encontrar coincidencias”