La onzième est passionnante, après son séjour au camp d'Argelès, c'est la première fois que Marcelino se "lâche" dans une correspondance avec sa famille.
La douzième est adressée à son fils Anastasio, toujours en vie à ce jour et que je salue amicalement.
Prochaine lettre (proxima cartas) le 6 juin.
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